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Voici le deuxième numéro de Cavalimage, le premier magazine en ligne sur le vaste thème des arts et cultures équestres. L’art est indissociable de la culture, nous dirions même et surtout les arts sont indissociables des cultures. Ce binôme est pluriel, nous y tenons.

Dans ce nouveau numéro, nous aborderons un art un peu spécial, l’art séculaire de l’archerie à cheval. Nous verrons, avec quelques conseils et beaucoup de pratique, comment éduquer son cheval à cette discipline guerrière et en faire un partenaire porteur de nos rêves d’enfants.
Dans cette optique, le cheval de bois, ce jouet basculant, a rempli ce rôle avec tant de joie que nous ne pouvons l’oublier. Nous lui rendons hommage avec la tendresse qu’il mérite.

Nous découvrirons évidement des artistes talentueux pour qui le cheval est source d’inspiration inépuisable, muse, fantasme et passion.

Anne Piola, rédactrice en chef

   
 
Extraits d'articles dans Cavalimage Janvier-Février 2010. Voir le magazine
 
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L'archerie montée - Dresser son cheval au tir à l'arc.

Avant tout, le cheval doit être préparé à évoluer dans un «couloir», qu’il soit matérialisé par des banderoles, une lisse ou une voie aménagée ou mieux, rien, juste un parcours imposé, un cercle large par exemple, que le cheval devra respecter au iota. Cet apprentissage se fait en main et monté, aux trois allures bien sûr. A répéter souvent et systématiquement avant toute «reprise». Le cheval doit être capable de rester sans dévier, sans changer de cadence ni d’allure, sur la «ligne» imposée, ligne droite ou cercle. Pas question qu’il ne change de direction au moment où, au grand galop, vous serez en position de tir !...

 

   
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Théodore Géricault - Mythologie furieuse.

Sa première œuvre, Officier de chasseurs à cheval de la garde impériale chargeant (1812), est une image de la victoire (on est à l’époque où Napoléon n’a pas encore vécu la défaite). Deux ans plus tard, dans un Salon organisé par Louis XVIII, Géricault expose sa deuxième œuvre à côté de la première: Cuirassier blessé (1814, musée du Louvre). En un contraste frappant avec la première, celle-ci représente un officier sur une pente avec son cheval, s’éloignant de la bataille. Son regard, «tourné vers la tuerie» qu’il vient de quitter, traduit le désarroi, la défaite...

   
 
Le cheval magazine d'art équestre en ligne. Création graphique: Thierry Plouchard - Rédaction: Anne Piola